Comment un « miniprion synthétique » permet de mieux comprendre certaines maladies neurodégénératives

Des chercheurs américains décrivent la façon dont une petite molécule induit des agrégats de protéines tau observés dans des maladies telle celle d’Alzheimer.Image IRM d’un cerveau sain (à gauche) et d’un cerveau atteint de la maladie d’Alzheimer (à gauche) avec de larges espaces noirs où le cerveau a rétréci. Des amas de protéines toxiques, considérés comme responsables du déclin cognitif associé à la maladie d’Alzheimer, atteignent précocement différentes régions du cerveau et s’accumulent ensuite au cours des décennies.